samedi 23 juillet 2011

Mapo Doufu

Je vous préviens tout de suite, j'en connais pas des masses sur les plats typiques chinois. D'ailleurs, le "Mapo Doufu", je l'ai découvert il n'y a pas si longtemps que ça. Entrons dans le vif du sujet : mékessdonc ? Originaire du Sichuan (province au centre-ouest de la Chine), où l'on aime bien manger épicé quand même, ce plat est composé de tofu et de viande hachée (le plus souvent du boeuf ou du porc), le tout baignant dans une sauce épicée. Le nom du plat signifie littéralement "le tofu de la dame au visage grêlé". Hum, charmant.

Je suis bien consciente que le tofu peut en rebuter certains : "pouah mais c'est fade !", "elle est un peu bizarre, la texture", mais franchement, ce plat est bien gourmand et je pense qu'il pourrait même plaire aux plus réticents (sauf peut-être, ceux qui n'aiment pas les plats épicés).

Comme je l'ai donc dit, je suis un peu (beaucoup ?) une quiche en cuisine chinoise. Figurez-vous que ça me titille quand même, alors pour combler cette lacune, j'ai décidé de m'y mettre. Et je suis tombée sur un livre. Genre, génial quoi : des plats typiques oui, mais qui ont vraiment tous l'air alléchant. Les photos ne cherchent pas à être stylées mais à donner envie (et ça marche, ça marche). Les recettes ne sont pas trop compliquées. La couverture est simple mais jolie. Le format est assez pratique. Son nom ? Cuisine chinoise de Ken Hom, de la collection Mes grands classiques, aux éditions Hachette pratique. Bref, thumbs up.

Donc, perspicaces comme vous devez l'être, j'ai réalisé son Mapo Doufu, en ayant toutefois apporté quelques modifications : à défaut de pâte de piment rouge, j'ai utilisé une pâte pimentée à la citronnelle trouvée dans le réfrigérateur (qui sert normalement à réaliser une soupe). Je n'ai pas pris du tofu soyeux mais du tofu ferme (plus facile à manipuler, j'avais peur de me retrouver avec une bouillie de tofu). Le boeuf a été remplacé par du porc (qui, ce n'est que mon avis, se marie mieux avec le tofu) et j'ai également parsemé le plat de ciboulette émincée (et d'un peu de coriandre mais je trouve l'association assez bof). Voili voiloù, je vous recopie la recette du livre :)

Mapo Doufu de Ken Hom
Pour 4 à 6 personnes

2 paquets de 285g de tofu tendre (soyeux) - 2 càs d'huile végétale, d'arachide de préférence -  250g de boeuf émincé - 2 càs d'ail grossièrement haché - 2 càs de pâte au piment - 1 càs de sauce soja foncée - 1 càs de vin de riz de Shaoxing ou de xérès sec - 2 càc de sucre en poudre - 15cl de bouillon de poule ou d'eau - 2 càc d'huile de sésame - 2 càc de grains de poivre du Sichuan, torréfiés et moulus - 1/2 càc de sel

Couper le tofu en cubes de 1cm et les égoutter sur du papier absorbant pendant 10 minutes. Faire chauffer un wok à feu vif et y verser l'huile végétale. Lorsque l'huile est chaude et légèrement fumante, saisir le boeuf pendant deux minutes. Ajouter l'ail et le faire revenir pendant une minute. Verser la pâte au piment et la sauce soja, et poursuivre la cuisson pendant une minute. Ajouter le vin de riz, le sucre et le sel, et poursuivre la cuisson pendant 30 secondes. Ajouter le bouillon et le tofu dans le wok et faire cuire trois minutes à feu vif. Ensuite, ajouter le poivre du Sichuan et l'huile de sésame. Présenter dans un plat de service, accompagné de riz.

Remarque : si l'on souhaite un plat pas trop épicé, on peut toujours baisser la quantité d'ail et de pâte de piment. Aussi, après l'ajout du bouillon, on peut faire cuire plus longtemps (le but étant en fait que la sauce réduise). Si l'on n'a pas de bouillon de poule, on peut toujours le remplacer par du bouillon en cube délayé dans de l'eau (mais entre nous, c'est meilleur avec le fait-maison ;)).

mardi 19 juillet 2011

Le Tombeau des Lucioles, Isao Takahata


Ouin.

Je suis rond, doré, et souvent garni de pépites de chocolat... qui suis-je ?

Le COOKIE, bien sûr :D. Il y a, je crois bien, deux écoles qui rivalisent en termes de texture : d'aucuns les aiment durs, d'autres les préfèrent croustillants aux bords et mous au centre, ce qui est franchement mon cas. Je dirais même qu'il faut qu'ils soient plats, pas trop épais. Et avec de grosses pépites de chocolat (noir, bien entendu), c'est mieux. Bien sûr, je ne dis certainement pas non aux innombrables déclinaisons de ce biscuit (aux noix, à la pistache, au chocolat blanc, etc. je vous laisse imaginer la suite). Mais à mon sens, moins les combinaisons sont compliquées, meilleurs les cookies sont.

Il y a maintenant quelques années, je suis tombée sur cette recette. Je sentais bien qu'elle allait satisfaire mes exigences (je parle de la texture des cookies). Sauf que : trop de sucre. Donc, j'ai un peu bidouillé la recette :). Et pour soulager ma conscience (eh ouais, toujours), j'ai remplacé une partie de la farine par de la poudre d'amande et des flocons d'avoine broyés (qui apportent un goût en plus très agréable ainsi que du croustillant).

Cookies façon capitaine
(grandement inspirés de cette recette)
Pour 18 cookies de taille moyenne

120g de farine - 50g de flocons d'avoine broyés - 50g d'amandes en poudre - 100g de beurre mou - 150g de sucre cassonade (l'idéal serait du sucre roux, mais je n'en ai pas) - 1 oeuf - 1/2 càc de bicarbonate de soude (on en trouve en pharmacie) - 1/2 càc de levure chimique - 1/2 càc de sel - 1 càc d'extrait de vanille (ou un sachet de sucre vanillé ; dans ce cas là, il faut un peu baisser la quantité de sucre) - Du chocolat coupé en grosses pépites (ou autre chose, c'est selon)

Ecraser à la fourchette le beurre avec le sucre, bien amalgamer. Ajouter l'oeuf et l'extrait de vanille, puis petit à petit la farine, le sel, la levure, le bicarbonate de soude, la poudre d'amandes et les flocons d'avoine broyés. Mélanger rapidement le tout puis ajouter les pépites de chocolat. Préchauffer le four à 140°C. Former des boules (un peu plus petites qu'une balle de ping pong), les déposer sur une plaque recouverte de papier sulfurisé et les aplatir légèrement. Bien espacer les boules, car les cookies vont s'aplatir et s'étaler à la cuisson. Placer la plaque au milieu du four et faire cuire pendant 20 à 25 minutes (cela dépend des fours, j'ai mis 20 minutes), pas une de plus : en sortant les cookies, ils seront encore crus ce qui est normal, car ils durcissent en refroidissant. D'ailleurs, pour couper la cuisson, je transferts les cookies avec le papier sulfurisé sur une grille.

Remarques :
  1. Concernant le sucre, n'utilisez surtout pas du sucre blanc : le goût et la couleur des cookies dépendent notamment du sucre choisi (voyez les photos de l'autre blog pour comparer, on voit nettement la différence).
  2. J'ai broyé les flocons d'avoine à la moulinette. Ils sont plus intéressants sous cette forme : j'ai déjà essayé en les laissant entiers, pensant obtenir des cookies croustillants, mais au lieu de cela, c'était mou, on sentait trop les flocons.
  3. Si vous souhaitez faire des cookies plus petits, pensez à réduire le temps de cuisson.
  4. Au contraire, si vous souhaitez obtenir des cookies durs, 25 minutes de cuisson devraient faire l'affaire.


Toujours avec un verre de lait frais :)

vendredi 15 juillet 2011

Le Voyage de Chihiro, Hayao Miyazaki


C'est sûr, y'a pas que Chihiro qui voyage. Plein de couleurs, plein de Yôkai ! Nos sens visuel et auditif en sont émoustillés. Grand film d'animation donc (mais ça on le savait déjà), avec Sans-Visage étant incontestablement mon personnage préféré dans ce film. Miyazaki fangirl, hoho. 

lundi 11 juillet 2011

Muffins aux pépites de chocolat

Trop trop trop bons ! Bien moelleux, pas secs, pas étouffe-chrétiens, pas trop sucrés, du bon chocolat noir... Voili voiloù, ma recette de muffins.

Muffins aux pépites de chocolat
Pour 12 muffins

220g de farine - 130g de sucre cassonade - 2 oeufs - 1 pot de yahourt nature de 125g - 8cl de lait - 8cl d'huile neutre - 1 sachet de levure chimique - 1 sachet de sucre vanillé - Une pincée de sel - Des pépites de chocolat (je vous conseille vivement de prendre du chocolat en tablette et de couper de grosses pépites, au lieu de prendre les petites pépites toutes prêtes trop sucrées à mon goût)

Comment faire ? C'est tout simple : on mélange dans un saladier les ingrédients secs (farine, sucre, levure et sel), dans un autre les ingrédients "mouillés" (oeufs, yahourt, lait, huile). Ensuite, on verse tout le mélange mouillé sur le mélange sec et on touille. Le truc encore plus sympatoche dans cette recette, c'est que même s'il y a des grumeaux, c'est pas grave du tout (même qu'il faut en laisser !). On ajoute le chocolat à la fin (on en garde un peu pour en mettre sur les muffins avant cuisson). Ensuite, on remplit les moules à muffins (pas la peine d'en mettre à ras bord, ça va gonfler :D) et on fait cuire à 180°C pendant 15 minutes. Le meilleur moment pour les déguster ? Quelques minutes après leur sortie du four : très moelleux, les bords sont croustillants et le chocolat, FONDANT. :)

Remarque : je pense qu'il est nécessaire d'utiliser des caissettes en papier (à placer dans les moules). Sinon, les muffins seront moins moelleux et un peu plus secs.


jeudi 7 juillet 2011

Salade de pommes de terre tiède

Encore du salé, OUAIS (il faut bien équilibrer la balance). Et encore la vinaigrette au paprika. Et le résultat est sympa comme tout. Cette salade de pommes de terre tiède peut très bien accompagner des viandes ou du poisson, ou bien on peut y ajouter des sardines, du thon, des lardons...

Salade de pommes de terre tiède
Pour 4 personnes

8 pommes de terre - Une poignée de feuilles de coriandre grossièrement ciselées - 1 échalote émincée - Vinaigrette au paprika (recette ICI)

Éplucher les pommes de terre et les couper en rondelles ou en cubes. Les faire cuire à la vapeur jusqu'à ce qu'elles soient tendres. Pendant la cuisson, préparer la vinaigrette. Dans un saladier, mélanger tous les ingrédients.


La pizza, c'est chouette

Les Italiens me taperaient sûrement sur les doigts : la pâte n'est pas assez fine, pas assez croustillante, et j'ai utilisé du coulis de tomate en brique. N'empêche que c'est quand même trop bon, surtout quand on fait la pâte soi-même... Bon je l'avoue, j'ai pas cherché loin, la recette était inscrite sur le sachet de levure de boulanger. Faudrait peut-être que je me bouge un peu les fesses. Ah oui, petite déception (mais ça, c'est ma faute) : je n'ai pas mis assez de coulis (zuuut).

Pizza
Pour une grande pizza ou 4 petites pizzas

Pour la pâte à pizza (recette d'Alsa sur les paquets de levure de boulanger Briochin) : 250g de farine - 15cl d'eau - 3 càs d'huile d'olive - 1 sachet de levure de boulanger - 1 càc rase de sel. Pour la garniture : 1 petite brique de coulis de tomate - Ensuite, c'est comme on veut : jambon, thon, champignons, poivrons, basilic (frais ou séché), origan, mozzarella, chèvre...

Pour ceux qui ont une MAP : réhydrater la levure de boulanger dans 5cl des 15cl d'eau tiédie. Ensuite, mettre tous les ingrédients dans la cuve, en commençant par un peu d'eau, l'huile et le sel. Attention, la levure ne doit pas être en contact avec ces deux derniers, au risque de tuer la levure. Mettre sur programme pétrissage.

Pour ceux qui n'ont que leurs mains : réhydrater la levure de boulanger dans 5cl des 15cl d'eau tiédie. Mélanger la farine et le sel dans un saladier. Y ajouter la levure et mélanger à nouveau. Ajouter le reste de l'eau et mélanger sans pétrir. Enfin, verser l'huile et pétrir la pâte pendant 5 minutes jusqu'à ce qu'elle soit bien homogène et ne colle plus. Recouvrir le saladier d'un torchon propre et laisser gonfler la pâte pendant 1 heure dans un endroit chaud. Elle doit doubler de volume.

Dégazer la pâte sur un plan de travail propre (càd, la pétrir pour chasser l'air, lui donner des coups de poing, c'est comme on veut). L'étaler assez finement à l'aide d'un rouleau à pâtisserie, et laisser reposer sous un torchon une nouvelle fois (on peut aussi diviser la pâte en quatre pour faire des portions individuelles). Pendant ce temps-là, préparer la garniture. Préchauffer le four à 180°C, avec une coupelle d'eau en bas du four. Étaler du coulis de tomate sur la pâte à pizza et la garnir. Faire cuire pendant 20 minutes (ou un peu plus si c'est une pizza collective).

 Jambon blanc, champignons, chèvre et basilic frais

Jambon blanc, champignons, poivron jaune, mozzarella et basilic frais

La mienne : jambon blanc, champignons, poivron jaune, 
basilic frais, moitié mozza moitié chèvre :D

Quinoa, je t'aime bien toi... (2)

Bah ouais, j'ai récidivé. Cette fois-ci, je voulais quelque chose de bien frais et de bien citronné. Pari tenu ! :) Je la préfère même à l'autre salade. La vinaigrette au paprika apporte à la fois l'acidité et le goût. La coriandre, elle, parfume le tout à merveille, tout comme l'échalote ciselée. La carotte, encore une fois, donne de la couleur (et bonne conscience). J'ai aussi mis du thon au naturel, qui permet de boucler la boucle. On pourrait le remplacer par des sardines, ça doit être vachement bon !

 Salade de quinoa au thon, vinaigrette au paprika
Pour 4 à 6 personnes

1 verre et demi de quinoa (rouge et blanc mélangé à du boulgour de la marque Tipiak pour moi) - 1 carotte - 1 petite boîte de thon au naturel - 1 échalotte ciselée - 1 poignée de feuilles de coriandre grossièrement ciselées. Pour la vinaigrette au paprika (je ne me souviens plus des quantités, j'ai un peu fait au pif) : 3 càs d'huile de tournesol - 1 càs rase de paprika moulu - le jus d'un citron (plus ou moins, cela dépend des goûts) - sel

Faire cuire le quinoa selon la méthode indiquée sur le paquet. Pendant ce temps-là, mettre de l'eau salée à ébullition dans une petite casserole. Éplucher la carotte, la couper en deux dans le sens de la longueur, puis en forme de demi-lunes de deux millimètres de largeur. Les plonger dans l'eau bouillante. Lorsqu'elles sont cuites (tendres mais elles restent fermes), les mettre dans de l'eau glacée, ce qui stoppera la cuisson et préservera leur couleur. Quant au quinoa, lorsqu'il est cuit, l'égoutter et le rincer à l'eau froide (ou bien on peut le préparer à l'avance et le laisser refroidir). Préparer la vinaigrette : mélanger le jus de citron au paprika moulu, puis incorporer l'huile de tournesol. Saler. Dans un saladier, mettre le quinoa, les carottes, le thon émietté et l'échalote ciselée. Verser la vinaigrette. Mélanger. Enfin, ajouter la coriandre ciselée. Réserver au frais pendant 1 heure.

mardi 5 juillet 2011

Gaufres de Bruxelles

Mes préférées. Celles qui sont légères, qui croustillent (et qui ne ramollissent pas tout de suite), mais qui restent moelleuses à l'intérieur. Ma façon préférée de les manger ? Avec du sucre semoule (surtout pas le sucre glace qui s'envole partout si on a le malheur de respirer quand on mord dedans...).

Avec cette recette, on obtient des gaufres bien croustillantes. Les blancs en neige sont nécessaires afin d'obtenir des gaufres légères. Et surtout, la levure de boulanger est indispensable : c'est grâce à elle que la gaufre reste croustillante et garde sa forme après refroidissement. Petit bémol cependant, j'ai trouvé mes gaufres un poil trop sèches. Peut-être qu'il faudrait augmenter la quantité de beurre ou rajouter un oeuf... à refaire. Mais bon, elles sont quand même bonnes ;)

Gaufres de Bruxelles
Pour une douzaine de gaufres

250g de farine - 2 oeufs, blancs et jaunes séparés - 35cl de lait - 80g de beurre fondu - 1 sachet de levure de boulanger déshydratée - 1 càs de sucre - Une pincée de sel

Réhydrater la levure de boulanger dans un peu de lait tiédi. Verser la farine dans un saladier et y faire un puits. Ajouter les jaunes d'oeufs, le sel, le sucre et le beurre fondu. Mélanger en incorporant le lait progressivement. Ajouter la levure réhydratée. Monter les blancs en neige et les incorporer délicatement en soulevant la pâte à l'aide d'une maryse. Réserver la pâte au frais dans une boîte hermétique pendant deux heures. Ensuite, à vous de jouer avec le gaufrier :)

Remarque : on peut les préparer à l'avance et les réchauffer quelques secondes dans le gaufrier avant dégustation, elles retrouveront tout leur croustillant !

samedi 2 juillet 2011

Aujourd'hui, il a fait beau

Oui, nous avons eu droit à ce que je considère le temps idéal : 23°C, le vent soufflait légèrement, quelques nuages ça et là, et un soleil radieux (= il fait légèrement froid mais le soleil nous réchauffe). Résultat, on pouvait se balader tranquillement, sans avoir l'impression d'étouffer ou l'obligation de tenir un parapluie (ouais, c'est chiant ça). ET déjeuner agréablement au restaurant. Venez, je vous emmène chez Aki.

Ce restaurant est surtout connu pour sa spécialité, les okonomiyaki (je vous renvoie ICI pour plus d'explications). Mais aujourd'hui, on ne va pas commander ça. Non, nous avions plutôt une envie de nouilles, donc pour la petite soeur, ce fut des soba en soupe à l'oeuf, et pour ma part, je me suis tournée vers les soba froides au champignon et daikon (radis japonais) râpé, qui me faisaient vachement de l'oeil quand même. Verdict : c'est très bon, généreux, complet et surtout très frais, donc idéal pour les journées de chaleur !

Ah oui, l'autre envie de la petite soeur : les kolokke (croquettes de pomme de terre, très bonnes)

Soba froides (j'ai oublié le nom en japonais). En plus des champignons et du 
daikon râpé, le plat était garni d'algues, d'épinards, de tofu frit et d'omelette émincés.


Et enfin pour donner du goût, une sauce à la sauce soja
et de la ciboulette comme point final.

Tsukimi soba : nouilles soba en soupe, oeuf, algues, épinards, ciboulette
et friture de froment.

Thé matcha

On en a eu pour notre argent. Les bols sont énormes. D'ailleurs, chose que l'on a sue qu'après ce copieux déjeuner, il est possible de commander moitié-portion. Bon à savoir ! Nos ventres étaient tellement remplis qu'on ne pouvait pas finir nos plats. Bref, 4,50€ pour les croquettes, 8,50€ pour les tsukimi soba, 10€ pour les soba froides, 2€20 le thé matcha. D'habitude, le service n'est pas long mais aujourd'hui, les plats furent servis en cinq minutes !

Aki
11 bis rue Sainte Anne
752001 PARIS
Métro : Pyramides

Ensuite, balade au jardin des Tuileries et pause goûter chez Aki boulangerie (voir précédent post ICI). Je n'en dis pas plus.



Lait matcha glacé

Melon pan